À de nouvelles aventures, un nouveau nom.
SØMA est un mot féroïen qui signifie « embellir ». Ce sont ces visages que l’artiste entend mettre en valeur et célébrer.
SØMA, c’est aussi une référence à SAMO, première signature utilisée par Jean-Michel Basquiat, dont le travail a largement influencé ses cheminements artistiques.
SØMA, c’est la célébration du vivant sous toutes ses formes, rendant chaque tableau unique.
La vente aux enchères organisée à la Fondation Vasarely (Aix-en-Provence) ce samedi 2 avril dernier pour la La Maison de Gardanne a été un grand succès ! SØMA a décroché la meilleure vente de la soirée avec un tableau renvoyant un message : celui de la primauté de l’amour. Nous tenons à remercier les acquéreurs — Love is the Answer !
Si SØMA s’appelle ainsi, ce n’est pas pour rien. SAMO (« SAme Old Shit ») est la première signature utilisée par Basquiat, dont le travail a largement influencé les cheminements artistiques de SØMA… Jusqu’à son nom ! Vous retrouverez donc au fil du temps de nombreuses références à Basquiat — représentations, esthétiques…
« On ne devient pas champion dans un gymnase. On devient champion grâce à ce qu’on ressent ; un désir, un rêve, une vision. » – Mohamed Ali. De « King of the Ring » à « King of theWorld », SØMA a voulu rendre hommage à Cassius Clay, devenu Mohamed Ali à 22 ans, alors champion du monde de boxe. Sa parole coup de poing se développe du « trash talking » pour déstabiliser ses adversaires aux provocations politiques et anti-racistes, jusqu’à sa défense d’un islam pacifiste face à Donald Trump. Car dans la vie de Mohamed Ali, le match se joue aussi hors du ring.